BLONDEL, Jacques-Auguste. Dissertazione: Della forza dell'immaginazione delle donne gravide sovra il feto. Ferrara, Francesco Gardi, 17604to; 190x135 mm; Legatura in cartonato marmorizzato con tagli a spruzzo. Pp. [4], 212. Titolo dell’occhietto “Della forza dell'immaginazione delle donne gravide sopra il feto” e frontespizio in rosso e nero con marca tipografica raffigurante Sansone che apre con forza le fauci di un leone; Iniziali, fregi e testatine xilografiche. Bell’esemplare.Prima edizione italiana tradotta dall’inglese della dissertazione di Blondel. È tra i primi saggi che indaga l’immaginazione femminile nell’epoca della gestazione, di alta caratura scientifica.Biographie Médicale: “Jacques-Auguste Blondel (1666-1734), anglais de naissance, mais français d’origine, fut agrégé au Collège des médecins de Londres... Il publia ce livre (The strength of the imagination of pregnant women examined... London, 1727) sans y mettre son nom. Il y démontre que l’imagination de la mère ne peut exercer aucune influence sur l’enfant, puisque celui-ci jouit de la vie en propre, et qu’il netient à elle que par des vaisseaux très déliés par rapport aux deux corps”. Blake, p. 51 - Biographie Médicale, II, p. 290.

4to; 190x135mm; Marbled cardboard binding with speckled edges. Pp. [4], 212. Title of the half title "Della forza dell'imaginazione delle donne gravida sopra il feto" and title page in red and black with printer’s device depicting Samson forcefully opening the mouth of a lion; woodcut initials, ornaments and head pieces. Good specimen.
First Italian edition translated from English of Blondel's dissertation. It is among the first essays that investigate the female imagination during pregnancy, of high scientific quality. Biographie Médicale: “Jacques-Auguste Blondel (1666-1734), anglais de naissance, mais français d’origine, fut agrégé au Collège des médecins de Londres... Il publia ce livre (The strength of the imagination of pregnant women examined... London, 1727) sans y mettre son nom. Il y démontre que l’imagination de la mère ne peut exercer aucune influence sur l’enfant, puisque celui-ci jouit de la vie en propre, et qu’il netient à elle que par des vaisseaux très déliés par rapport aux deux corps”.